WeWork, dont l'introduction en bourse a connu l'un des effondrements les plus frappants de ces dernières années, tente à nouveau de s'introduire en bourse, et certains des facteurs qui avaient inquiété les régulateurs lors de la première opération sont à nouveau présents. Les règles régissant les SPAC sont plus souples que celles qui s'appliquent aux introductions en bourse, ce qui donne à WeWork une plus grande liberté pour commercialiser son avenir. Le fournisseur de bureaux partagés devrait s'associer à une SPAC appelée BowX Acquisition Corp. dans le courant de l'année. Lorsque les deux entités ont présenté l'opération aux investisseurs, elles ont dépeint un scénario optimiste pour la croissance et la rentabilité de l'entreprise. Lors d'un appel aux investisseurs, le président de BowX a décrit WeWork comme une entreprise générant un chiffre d'affaires de 5 milliards de dollars, bien que ce chiffre soit une projection plutôt qu'un chiffre actuel. Dans sa description de la taille de WeWork, la société a compté les unités qu'elle ne possède pas directement.